Je nage plus vite que toi [ Kim Ji Jung{PV}]

En plein milieu de la nuit, je m’étais réveillé. Cauchemardant encore depuis mon agression. Depuis qu’on avait tenté de me tuer. Je toussais tout en tenant ma gorge. Elle me brulait encore, j’avais mal… tellement mal. Pourquoi avait – il fallut que je boive cette colle, qui se trouvait dans cette bouteille de jus…Je déglutis difficilement avant de me laisser retomber coucher dans mon, puisqu’entre – temps, je m’étais mis assis. Mon cœur battait à son tour, aussi difficilement dans ma poitrine, même mon torse en frémissait a cause de mes battements défectueux. Aiish, si vous saviez qu’un jour, il y a longtemps, j’étais vraiment mort sur la table d’opérations, mais pour tout le monde, je suis revenu a la vie.

- Faut que je me motive a aller chercher ces médocs’, moi…

C’était plus facile à dire, que faire. Croyez – moi. Donc, lentement, je me mis assis de nouveau, sur mon lit. Posant mes pieds nus à terre et levant mon corps habillé que d’un boxer moulant de couleur noir, pour qu’il se dirige vers le bureau au coin de la pièce. J’ouvre le tiroir et en sort une petite boite. Je la décapsule avant de prendre deux comprimer, et attraper la bouteille d’eau pour ensuite, la renifler légèrement et la boire tout en avalant les dragées qui empêche cette sensation de lave en fusion, dans ma voie buccale. Ensuite, je me tourne vers mon armoire. Armoire bien trop grande et immense, accessoirement parlant. Pourquoi ? Ouah, les petits curieux, tout simplement, parce qu’avec mes fringues et les cadeaux de mes idoles, mon armoire avait pris de l’ampleur. D’un coter, j’ai environs 100 paires de chaussures, toutes plus adorables que les autres, au milieu, mes vêtements classer par style et couleur. Et de l’autre coté, tous les accessoires, casquette, chapeau, montre, bijoux, même mes chaussettes et mes boxers si trouvaient. Dans l’instant, je songeais plus aller prendre ma douche, surtout.

- Direction, la salle de bain, mon bonhomme !

Disais – je en me parlant à moi – même, en même temps, à qui voulez – vous que je parle. Il n’y a personne a part moi dans la pièce, et mon armoire à glace haut comme un motard, qui se tient devant la porte de ma maison. En même temps, j’avais besoin d’être protéger, mais aussi, c’était par obligation. J’étais une idole, une star…c’est pour ma sécurité qu’on avait posté cette boule de nerfs sur pattes, devant ma porte. Par la suite, je me dirigeais finalement dans la salle de bain, ouvrant le robinet de ma douche avant de me déshabiller et entrer dans la cabine vitrée, qui camouflaient mon corps a la vue des indésirables. Je me lavais avec mon savon au gout que je préférais depuis toujours. Vanille & fraise. Quelle odeur exquise !

- Hmmm, ca me donne envie de le manger, des fois !

Pensais – je tout haut, je ne m’étais même pas rendu compte que je l’avais dit, et qu’en plus, je me m’étais à rire, avant de tenir ma gorge en gémissant un peu. Et oui, même si ca n’as pas été dit officiellement a la télévision, ni a la radio, ni par le bouche a oreille, j’ai vraiment du mal à respirer, parler, rire, manger et boire. Ma gorge a été littéralement détruite. Quand on avale de la colle sans même le savoir, et que votre bouche reste coller à l’ouverture de la bouteille, pendant que la colle vous colle les voies respiratoires et l’intérieur de votre appareil digestif. Croyez – moi, vous ne pouvez qu’en mourir. Et moi, j’étais mort, mais a cause des médecins qui s’étaient acharné sur moi, et surtout l’envie de ne pas me voir mourir, ils ont réussis a me ramener a la vie. Résultat, je fais le bonheur des petits et des grands, pour le plaisir de tous ceux qui m’aiment… Je soupire longuement, avant de sortir de ma douche, coupant l’eau, et massant ma nuque, au même moment. D’un seul coup, mon corps était parcouru de frissons, un courant d’air était passé dans la pièce, et il faisait fatalement, plus frais. Alors, tout en trottinant avec mon peignoir sur mon corps, je tremblotais de froid. Je m’avance, jusque devant mon armoire. Et enfile facilement, un boxer noir – bleu moulant, un baggy de couleur noir, déchiré sur le haut de mes cuisses jusqu'à mes genoux. Et une simple chaine avec « Ice Tae » comme pendentif. Tout en mettant une paire de chaussures, puis, une paire de converses noires, a mes pieds, je me redirigeais vers la salle de bain, juste pour me coiffer. Un petit peu de gel, un petit peu de laque par-ci, par – la. Et me voila aussi irrésistible qu’un gâteau au Nutella. Par la suite, pour éviter tout évanouissement, et actes inconsidéré de mes fans « en chaleur » pour certaines personnes, je pris le soin d’enfiler tout de même un pull assez large, de couleur blanc. Ensuite, j’allais a la cuisine, pour pouvoir manger une mini – tartine, le peu de chose que je pouvais manger… surtout en petite quantité. Et je buvais aussi, un jus d’orange, étant d’abord septique en le voyant dans la bouteille. J’examinais chacune de mes nourritures et de mes boissons, pour être bien sur de ne plus mourir une seconde fois. Puis, après avoir fait la vaisselle, je me lavais les mains, les essuyaient avant de sortir finalement, étant accompagner de mon frigo humain, cet homme bien plus grand que moi, sans cœur et froid comme un prisonnier. Puis, tout les deux, on grimpait dans la voiture, qui ressemblait plus à une jeep qu’une voiture…

- pff…

Je soupirais d’ ennuie, surtout. Je n’étais jamais seul, la preuve, le manageur était en face de moi, et me récitait mon emploie du temps, attention, rester bien assis, il est charger. 08h50 : rendez – vous chez la coiffeuse pour qu’elle me fasse la coupe prévue pour le photoshoot de 10h30. 09h50, c’est chez l’habilleuse, je dois enfiler mon costume que j’ai essayé la semaine dernière. 10h30, photoshoot pour le prochain clip. 11h00 déjeuné sécuriser avec le personnel de la maison de disques. 11h50, rencontre avec une fan ou un admirateur choisit par le directeur et mon garde du corps. 14h00, photo souvenir avec lui ou elle. 16h00, continué l’enchainement du clip. 18h00, se changer et se coiffer pour s’entrainer dans la salle de danse. 20h00 entrainement & coach vocal. Et pour finir 22h00 jusqu'à 01h00, animation dans une boite de nuit. Si après ca, on dit que je ne suis pas occuper, il faut vraiment une loupe pour qu’on ne voit pas que j’ai vraiment un emploie du temps charger, et déjà prévu à l’ avance sans que je me mette mon grain de sel.

- Oui, monsieur. J’y assisterais.

Je lui accordais un sourire avant de regarder le paysage défiler devant mes yeux. Je regardais le ciel gris devenir blanc, le soleil qui montrait le bout de son nez. Et les passants qui marchaient dans la rue. Mais finalement, ce n’était que de courte durée, car pour une fois, j’avais le droite de sortir, mais toujours accompagner de cette grande personne effrayante a mes coter. Je me sentais un peu mal a l’aise mais a la fois bien, a ses coter. Bien que tout le monde me reconnaissaient, même que certains s’approchaient de moi, timidement, me demandant un autographe. Sur le moment, je me reculais assez furtivement, avant de sourire et de leurs signer leurs livres, leurs affaires et même a quelques unes, d’entre elles, leurs corps. Précisément, certaines leurs poitrines, ou même le vêtement de leurs bébés. Bah oui, j’ai des demandes bizarres, comme vous pouvez le voir. Tout en me baladant dans la rue, je fixais l’horizon au loin, une petite fille pleurait parce que sa glace était tombée et que sa mère discutait avec sa meilleure amie, de fringues et je ne sais quoi. Alors pour la rassurer, je m’approchais d’elle, avant une glace a nos parfums préférer, puisque c’était les mêmes que les miens, je le remarquais grâce aux couleurs sur le sol. Rose et jaune. Ce n’est que la fraise et la vanille.

- Tiens, petite princesse.

Dans le même instant, je lui avais fais même un tour de magie et lui avait fait apparaitre un énorme ours blanc en peluche que je lui avais glissé dans les mains. En faite, je mentais un peu sur ce coup la, je l’ai juste acheté au marchander du coin, celui qui rit de bon cœur en me voyant lui offrir la peluche a la gamine. D’un coter, elle ne pleurait plus, et c’était tant mieux pour moi. Je n’aime pas vraiment voir les gens pleurer, encore moins des enfants…

- Les princesses ne devraient pas pleurer. Elles sont la parce quand elles sourient, elles font rayonner les visages de leurs mamans, de leurs amis, et même le soleil lui-même, en rigole. Alors souris, ne pense plus à pleurer, ma petite. D’accord ?

Aussi tôt dit, aussi tôt fait. La voila qui rigole avant de me serrer dans ses bras si maigres et fins, soit – il. Lentement, je la pris contre moi, avant de la ramener prés de sa mère, et lui sourire tendrement. Celle – ci me demandait à son tour, un autographe en me reconnaissant. Je riais légèrement avant de lui signer son sac a main, c’est elle qui me l’avait demandé, hein, pas de confusion ou de mauvaise pensées, s’il vous plait ! Ensuite, je continue de marcher avant de trouver un endroit calme, la piscine. J'entre a l'intérieur, avec mon sac de sport que j'avais laisser a l'arrière de la jeep. Et oui... a force de blablater, j'avais oublier de le signaler. Une fois a l'intérieur, je faisais comme tout le monde, je paye l'entrée, m'avançant dans les vestiaires pour enfiler mon maillot après mettre déshabiller et finalement, aller dans la piscine, jouer un peu avec l'eau, avant d'apercevoir un de mes amis... Ji Jung. Un des magnae les plus spéciales qui soit. Je m'approche en nageant de lui, avant de sortir de l'eau discrètement et le pousser d'un air ni vue, ni connu a l'eau.

- A l'eau, jeune fille (XD je sais, Key est un gars, =.="). C'est pas bien de rester dehors a faire en sorte que tout le monde te matte.

Du coup, j'étirais un simple sourire amusée aux lèvres avant de m'assoir sur le bords, et me remettre a nouveau a l'eau, comme si de rien n'était pendant que l'autre gugusse, remontait a la surface. Après tout, ce n'est qu'une simple journée normal, dans ma vie, comme d'habitude...

Le voila qu’il m’engueule maintenant. Puis, il secoue ses cheveux pour se recoiffer vainement, alors que je soupirais longuement avant de me diriger vers le bord, et le regarder d’où j’étais. C’est dingue comme les gens peuvent prendre la mouche très rapidement, je ne dis pas que je suis différent, mais juste pareil. Mais je ne le déteste pas pour autant, alors, calmement, je lui répondis ceci, quitte a ce qu’il se venge par après…

- Du calme, mon vieux… Si tu veux des excuses, je t’en fais… C’est bien parce que c’est toi… Et puis, décompresse, quoi… Si il t’en faut peu pour que tu t’énerve, tu vas finir avec des cheveux bancs, plus vite que tu ne le pense.

Finalement, je me relève, et soupire, le plantant carrément dans la piscine, alors que je m’avançais, vers les vestiaires. Soupirant longuement… avant de prendre ma douche. Je ne vois même pas l’utilité de rester si c’est pour se chercher des puces, des le départ. Je n’étais pas d’humeur à jouer. Comme si une part de moi manquait… Non, pas mon homme cette fois… Mais, l’unique femme de ma vie. Je la revois dans mes flashes… Elle me tenait les mains, me serrait dans ses bras… Quel mensonge, ou vérité, était – ce, cette fois ? Je gémis tout en me tenant la tête. Trop de flash d’un coup, et voila que je m’effondre dans les douches, ma tête atterrit sur le bord de cette dernière, je saigne de la tempe… j’ai mal atterrit. La douleur est si intense maintenant… L’eau vire à sa couleur rouge rubis. Je pleure aussi.

- Hyung…

Murmurais – je, j’avais besoin d’aide… Je le vois au loin, car les douches donnent sur la piscine. Mon corps semble endormit, je ne peux pas bouger… comme si ma tête, en tombant sur le carrelage et le coin de la douche, avait coupé momentanément, tout les liens qui unissaient a mes membres. Je me revois avec cette femme, non, cette étudiante… Elle me sert dans les bras, je la regarde dans les yeux, elle m’appelle oppa, non pas politesse… mais parce que finalement, je comprends qu’elle est mon unique famille. Mais quand j’apprends finalement, le jour de sa mort, je me rappelle avoir totalement changé de comportement… Tout le monde sait demander quoi, on m’a même éviter, de peur que je les morde…J’ai longuement pleuré le jour de sa mort, le jour où l’on m'a interné dans un hopital psychiatrique, aussi. Ho… hyung, si tu savais combien j’avais l’impression d’être qu’une marionnette, bonne à souffrir depuis le jour de ma naissance. Tous les membres de la famille Lee… était morte. Mes parents devant mes yeux, ma sœur pour avoir été la fouineuse d’une école entière. Que ferais les autres si ils l’apprenaient, que ferais le monde si je disais que j’ai retrouvé la mémoire qui me manquait. Mais pour ca, il a fallut que je m’éclate la tête contre le sol, a saigner dangereusement contre le bord du carrer du fond de la douche.

- hyung… appelle l’ambulance… aide – moi… je t’en supplie…

Un souffle, un frisson puis plus rien, j’étais évanouie. Mais malgré ca, je me réveille, des heures après a l’hôpital… en observation, un pansement sur la tempe, un compte – goutte au bout du tube qui était planter dans mon bras, a l’aide d’une seringue…